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Les monuments incontournables
Les nombreux monument de la Clairière de Rethondes sont dédiés aux victimes et tous les soldats qui ont combattus pour leur Patrie durant les conflits depuis 1870.
La statue du Maréchal Foch
Véritable héros, la statue du maréchal Foch est inaugurée en 1937. C’est l’œuvre de Firmin MICHELET. Elle est épargnée lors de la destruction de la clairière orchestrée par Hitler en Juin 1940. Elle sera même protégée par un coffrage en bois lors de la démolition par explosif du bâtiment qui abritait le wagon. Les drapeaux britanniques, français et polonais rappellent que Ferdinand Foch était maréchal de Grande Bretagne, de France et de Pologne.
La dalle sacrée
Inaugurée le 11 novembre 1922, à la même date que le monument des Alsaciens Lorrains, la dalle est taillée du même granit que la tombe du soldat inconnu (du granit de Vire). Il y est inscrit » Ici le 11 Novembre succomba le criminel orgueil de l’Empire Allemand vaincu par les peuples libres qu’il prétendait asservir ».
Le monument des alsaciens lorrains
Érige grâce à une souscription du journal « Le Matin » il est nauguré le 11 Novembre 1922,. L’oeuvre du ferronnier BRANDT est dédiée à l’Armée Française et commémore la récupération de l’Alsace et de la Lorraine, territoires allemands depuis la guerre franco-prussienne de 1870, Ce monument représente l’Aigle germanique abattu par le glaive français.
L'alliance de la paix
Installé dans la Clairière de l’Armistice, cet anneau de 3,50 mètres de hauteur et de 1,5 tonnes de bronze patiné est l’oeuvre de l’artiste Clara HALTER. Il y est inscrit le mot paix dans 52 langues différentes.

Le jardin de la mémoire
Érige en mémoire des soldats morts durant les conflits de l’Armée française depuis 1870 jusqu’à nos jours. Il porte le nom d’Augustin Trébuchon, en mémoire du dernier soldat français mort au combat de la Grande Guerre, Les monuments sont en granit de Vire comme la dalle centrale.
Les canons
Le canon de 75mm français est le premier à posséder un système hydraulique l’empêchant de reculer au départ de l’obus. Ceci permettait une cadence de tir beaucoup plus rapide.
Le canon de 77mm allemand bien qu’un peu moins performant que le 75 français fut une arme très destructrice. Beaucoup de pertes de part et d’autre furent occasionnées par l’artillerie.